Album Souvenir du camp d’Andenne
Les prisonniers italiens du camp d’Andenne au travail dans une carrière de la région, en 1918.
Des prisonniers italiens devant la porte du bâtiment dans lequel ils étaient logés.
Des prisonniers italiens devant la porte du bâtiment dans lequel ils étaient logés.
Trois prisonniers italiens devant la porte du bâtiment dans lequel ils étaient logés.
Deux prisonniers italiens devant la porte du bâtiment dans lequel ils étaient logés.
Un prisonnier italien devant la porte du bâtiment dans lequel lui et ses camarades étaient logés.
Vue intérieure du bâtiment dans lequel les prisonniers étaient logés. À l’arrière-plan, on aperçoit les couchages surélevés.
Un groupe de prisonniers dans un coin de la cour du camp ; à gauche, l’entrée du bâtiment dans lequel ils étaient logés (que fermait la grande porte blanche visible sur les photographies précédentes).
Un groupe de prisonniers dans un coin de la cour du camp. Avec leurs instruments, ils ont joué des airs pour leurs visiteurs du jour : « Bal masqué » de Verdi, « l’Hymne de Mameli » ou encore « A la Frontiera », raconte Joseph Monrique, un témoin de l’époque.
Un prisonnier italien, sans doute le plus gradé de la compagnie : l’homme se retrouve au centre de toutes les photographies de groupe, y compris celle prise à la carrière (avec un chapeau clair).
Un prisonnier italien, visible sur plusieurs photographies. Il est probablement l’adjoint du précédent, car il se place à ses côtés ou derrière lui.
Le même homme, accompagné de deux camarades, l’un fort jeune et l’autre plus âgé.
Un prisonnier italien, une cigarette à la main.
Un prisonnier italien à l’entrée du camp.
Chaque prisonnier devait porter son matricule sur la poitrine, le bras et la casquette.
Un prisonnier en uniforme militaire bien soigné : guêtres serrées, pantalon tiré, veste boutonnée et col levé, portant encore l’étoile de l’armée italienne. En arrière-plan, on aperçoit une jeune marraine venue rendre visite aux prisonniers. Son regard est tourné vers les bâtiments des fonderies d’Andenne. La colline dessinant la ligne d’horizon se trouve sur l’autre rive de la Meuse.
Un soldat italien pose devant l’appareil, avec son brassard de prisonnier.
Portrait d’un soldat italien détenu à Andenne, réalisé avant la guerre.
Portrait d’un soldat italien détenu à Andenne, réalisé avant la guerre.
Portrait d’un soldat italien détenu à Andenne, réalisé avant la guerre.
Isabella Errera-Goldschmidt (Florence, 5 avril 1869 – Bruxelles, 23 juin 1929), fondatrice et animatrice de l’Œuvre d’assistance aux prisonniers italiens déportés en Belgique.
Paul Errera (1860-1922), avocat, professeur à l’Université libre de Bruxelles et bourgmestre d’Uccle (1912-1921).
Franz Derenne (1873-1941), industriel, agent consulaire de S. M. le roi d’Italie pour la province de Namur.
Joseph Monrique (né en 1869), négociant à Andenne, président du Comité local de Secours, qui œuvrera en faveur des prisonniers italiens détenu dans sa ville.
Des Andennais ayant participé à l’œuvre d’assistance envers les prisonniers italiens détenus dans leur ville. Debout, de gauche à droite, Alfred Gillard, Fernand Marchal, Jules Marchal et Victor Sacré (en toute vraisemblance).
Des habitants d’Andenne vont porter des colis aux prisonniers italiens. À droite, l’homme qui se tient entre deux dames est celui qui est assis à l’extrême gauche sur la photo précédente.
Mademoiselle Gabrielle Moncheur de Rieudotte (1877-1944), présidente des marraines à Andenne.
Mademoiselle Moncheur de Rieudotte (assise à l’extrême gauche) et Madame Simon-Cornélis (assise à l’extrême droite), en compagnie d’autres marraines, au château de Rieudotte à Andenne. Parmi elles, des religieuses : deux Sœurs de la Charité et une enseignante de l’école des Sœurs d’Andenelle, deux ordres actifs dans la localité.
Portrait de deux marraines, présentes sur la photographie suivante (celle de droite est debout avec un nœud noir dans les cheveux et celle de gauche est assise au sol en tailleur, portant une tirelire)
De jeunes marraines andennaises, dans le parc du château de Rieudotte, portant des tirelires utilisées pour collecter des dons en faveur des prisonniers.
Portrait de deux marraines, présentes sur la photographie précédente (debout, à l’extrême droite).
Portrait d’une marraine, présente sur la photographie suivante avec sa mandoline (assise, à droite).
De jeunes marraines andennaises, dans le parc du château de Rieudotte, avec des instruments de musique. En arrière-plan, à droite, on aperçoit le lit de la Meuse.
Portrait d’une marraine, présente sur la photographie précédente avec son violon (debout, à l’extrême droite).
Madame Emile Dardenne, née Joséphine Warzée en 1846, doyenne des marraines d’Andenne. Elle avait 72 ans en 1918. On la retrouve sur la photographie suivante, assise à table, à gauche, un même ouvrage de couture entre les mains.
Un groupe de marraines andennaises, dans le parc du château Cobegge, simulant leur contribution de couturières au profit des prisonniers italiens.
Marcelle et Nellie Sterpin, deux jeunes filles d’Andenne (la première est présente sur la photographie précédente, à l’extrême droite)
Un groupe de jeunes filles andennaises dans le parc du château Cobegge, prêtes à distribuer des bouquets fleuris aux prisonniers italiens.
Un groupe de marraines andennaises devant le château Cobegge, tenant des bouquets de fleurs destinés aux prisonniers italiens.
Une marraine andennaise, qui semble figurer sur le cliché précédent, assise à gauche.
Un groupe de fillettes andennaises devant le château Cobegge, tenant des bouquets de fleurs destinés aux prisonniers italiens.
Une marraine andennaise.
Mademoiselle Charlotte Borsu, la seconde doyenne des marraines d’Andenne.
Un groupe de marraines andennaises : au premier rang, en robe blanche, Mariette Hazée avec à sa droite Marie Warzée et, assise à sa gauche, possiblement Charlotte Borsu.
Madame Simon-Geller (en toute vraisemblance), une marraine andennaise.
Un groupe de marraines andennaises.
Deux jeunes marraines andennaises (le cliché est signé par Georges Bodeau, fils de L. Bodeau, photographes à Huy)
Un groupe de marraines andennaises.
Deux jeunes marraines andennaises (la première est présente sur le cliché précédent, à l’extrême gauche).
Un groupe de marraines andennaises, dont Madame Diederen (assise dans le fauteuil de gauche, tenant les mains croisées sur ses genoux).
Quatre marraines andennaises, photographiées en studio.
Tombe de Vittorio Smanio, du 58° reggimento fanteria, né à Montagnana (Padoue) à une date inconnue, décédé à Andenne le 5 février 1918.
Le carré militaire italien implanté au milieu des sépultures civiles dans le cimetière de Belgrade (Namur), en 1918
Tombe de Carlo Bussoletto, du 4° reggimento fanteria, sans autre renseignement.
Tombes d’Orazio Pasquali, du 4° reggimento fanteria, décédé en captivité le 15 février 1918, sans autre renseignement, et de Vincenzo Remoli, du 137° reggimento fanteria, né le 15 juin 1880 à Oriolo Romano (Roma), décédé en captivité le 15 février 1918.
Tombe de Pietro De Stefani, du 202° reggimento fanteria, né le 2 juin 1898 à Refrontolo (Trévise), décédé en captivité le 21 juin 1918.
Vittorio Emanuele III (1869-1947), roi d’Italie.
Elena del Montenegro (1873-1952), reine d’Italie.
Les blasons de la Maison de Savoie et de la Maison de Belgique, emblèmes des familles royales italienne et belge.
Albert Ier (1875-1934), roi des Belges.
Élisabeth (1876-1965), reine des Belges.
Album Souvenir du camp d’Andenne
Version originale
Version galerie
Version originale
Version galerie
Les prisonniers italiens du camp d’Andenne au travail dans une carrière de la région, en 1918.
Des prisonniers italiens devant la porte du bâtiment dans lequel ils étaient logés.
Des prisonniers italiens devant la porte du bâtiment dans lequel ils étaient logés.
Trois prisonniers italiens devant la porte du bâtiment dans lequel ils étaient logés.
Deux prisonniers italiens devant la porte du bâtiment dans lequel ils étaient logés.
Un prisonnier italien devant la porte du bâtiment dans lequel lui et ses camarades étaient logés.
Vue intérieure du bâtiment dans lequel les prisonniers étaient logés. À l’arrière-plan, on aperçoit les couchages surélevés.
Un groupe de prisonniers dans un coin de la cour du camp ; à gauche, l’entrée du bâtiment dans lequel ils étaient logés (que fermait la grande porte blanche visible sur les photographies précédentes).
Un groupe de prisonniers dans un coin de la cour du camp. Avec leurs instruments, ils ont joué des airs pour leurs visiteurs du jour : « Bal masqué » de Verdi, « l’Hymne de Mameli » ou encore « A la Frontiera », raconte Joseph Monrique, un témoin de l’époque.
Un prisonnier italien, sans doute le plus gradé de la compagnie : l’homme se retrouve au centre de toutes les photographies de groupe, y compris celle prise à la carrière (avec un chapeau clair).
Un prisonnier italien, visible sur plusieurs photographies. Il est probablement l’adjoint du précédent, car il se place à ses côtés ou derrière lui.
Le même homme, accompagné de deux camarades, l’un fort jeune et l’autre plus âgé.
Un prisonnier italien, une cigarette à la main.
Un prisonnier italien à l’entrée du camp.
Chaque prisonnier devait porter son matricule sur la poitrine, le bras et la casquette.
Un prisonnier en uniforme militaire bien soigné : guêtres serrées, pantalon tiré, veste boutonnée et col levé, portant encore l’étoile de l’armée italienne. En arrière-plan, on aperçoit une jeune marraine venue rendre visite aux prisonniers. Son regard est tourné vers les bâtiments des fonderies d’Andenne. La colline dessinant la ligne d’horizon se trouve sur l’autre rive de la Meuse.
Un soldat italien pose devant l’appareil, avec son brassard de prisonnier.
Portrait d’un soldat italien détenu à Andenne, réalisé avant la guerre.
Portrait d’un soldat italien détenu à Andenne, réalisé avant la guerre.
Portrait d’un soldat italien détenu à Andenne, réalisé avant la guerre.
Isabella Errera-Goldschmidt (Florence, 5 avril 1869 – Bruxelles, 23 juin 1929), fondatrice et animatrice de l’Œuvre d’assistance aux prisonniers italiens déportés en Belgique.
Paul Errera (1860-1922), avocat, professeur à l’Université libre de Bruxelles et bourgmestre d’Uccle (1912-1921).
Franz Derenne (1873-1941), industriel, agent consulaire de S. M. le roi d’Italie pour la province de Namur.
Joseph Monrique (né en 1869), négociant à Andenne, président du Comité local de Secours, qui œuvrera en faveur des prisonniers italiens détenu dans sa ville.
Des Andennais ayant participé à l’œuvre d’assistance envers les prisonniers italiens détenus dans leur ville. Debout, de gauche à droite, Alfred Gillard, Fernand Marchal, Jules Marchal et Victor Sacré (en toute vraisemblance).
Des habitants d’Andenne vont porter des colis aux prisonniers italiens. À droite, l’homme qui se tient entre deux dames est celui qui est assis à l’extrême gauche sur la photo précédente.
Mademoiselle Gabrielle Moncheur de Rieudotte (1877-1944), présidente des marraines à Andenne.
Mademoiselle Moncheur de Rieudotte (assise à l’extrême gauche) et Madame Simon-Cornélis (assise à l’extrême droite), en compagnie d’autres marraines, au château de Rieudotte à Andenne. Parmi elles, des religieuses : deux Sœurs de la Charité et une enseignante de l’école des Sœurs d’Andenelle, deux ordres actifs dans la localité.
Portrait de deux marraines, présentes sur la photographie suivante (celle de droite est debout avec un nœud noir dans les cheveux et celle de gauche est assise au sol en tailleur, portant une tirelire)
De jeunes marraines andennaises, dans le parc du château de Rieudotte, portant des tirelires utilisées pour collecter des dons en faveur des prisonniers.
Portrait de deux marraines, présentes sur la photographie précédente (debout, à l’extrême droite).
Portrait d’une marraine, présente sur la photographie suivante avec sa mandoline (assise, à droite).
De jeunes marraines andennaises, dans le parc du château de Rieudotte, avec des instruments de musique. En arrière-plan, à droite, on aperçoit le lit de la Meuse.
Portrait d’une marraine, présente sur la photographie précédente avec son violon (debout, à l’extrême droite).
Madame Emile Dardenne, née Joséphine Warzée en 1846, doyenne des marraines d’Andenne. Elle avait 72 ans en 1918. On la retrouve sur la photographie suivante, assise à table, à gauche, un même ouvrage de couture entre les mains.
Un groupe de marraines andennaises, dans le parc du château Cobegge, simulant leur contribution de couturières au profit des prisonniers italiens.
Marcelle et Nellie Sterpin, deux jeunes filles d’Andenne (la première est présente sur la photographie précédente, à l’extrême droite)
Un groupe de jeunes filles andennaises dans le parc du château Cobegge, prêtes à distribuer des bouquets fleuris aux prisonniers italiens.
Un groupe de marraines andennaises devant le château Cobegge, tenant des bouquets de fleurs destinés aux prisonniers italiens.
Une marraine andennaise, qui semble figurer sur le cliché précédent, assise à gauche.
Un groupe de fillettes andennaises devant le château Cobegge, tenant des bouquets de fleurs destinés aux prisonniers italiens.
Une marraine andennaise.
Mademoiselle Charlotte Borsu, la seconde doyenne des marraines d’Andenne.
Un groupe de marraines andennaises : au premier rang, en robe blanche, Mariette Hazée avec à sa droite Marie Warzée et, assise à sa gauche, possiblement Charlotte Borsu.
Madame Simon-Geller (en toute vraisemblance), une marraine andennaise.
Un groupe de marraines andennaises.
Deux jeunes marraines andennaises (le cliché est signé par Georges Bodeau, fils de L. Bodeau, photographes à Huy)
Un groupe de marraines andennaises.
Deux jeunes marraines andennaises (la première est présente sur le cliché précédent, à l’extrême gauche).
Un groupe de marraines andennaises, dont Madame Diederen (assise dans le fauteuil de gauche, tenant les mains croisées sur ses genoux).
Quatre marraines andennaises, photographiées en studio.
Tombe de Vittorio Smanio, du 58° reggimento fanteria, né à Montagnana (Padoue) à une date inconnue, décédé à Andenne le 5 février 1918.
Le carré militaire italien implanté au milieu des sépultures civiles dans le cimetière de Belgrade (Namur), en 1918
Tombe de Carlo Bussoletto, du 4° reggimento fanteria, sans autre renseignement.
Tombes d’Orazio Pasquali, du 4° reggimento fanteria, décédé en captivité le 15 février 1918, sans autre renseignement, et de Vincenzo Remoli, du 137° reggimento fanteria, né le 15 juin 1880 à Oriolo Romano (Roma), décédé en captivité le 15 février 1918.
Tombe de Pietro De Stefani, du 202° reggimento fanteria, né le 2 juin 1898 à Refrontolo (Trévise), décédé en captivité le 21 juin 1918.
Vittorio Emanuele III (1869-1947), roi d’Italie.
Elena del Montenegro (1873-1952), reine d’Italie.
Les blasons de la Maison de Savoie et de la Maison de Belgique, emblèmes des familles royales italienne et belge.
Albert Ier (1875-1934), roi des Belges.
Élisabeth (1876-1965), reine des Belges.